Les 29 organisations signataires du Pacte progressiste fin de vie ont pris acte, du fait de la dissolution de l’Assemblée nationale prononcée le dimanche 9 juin dernier, de la suspension de l’examen du projet de loi relatif à l’accompagnement des malades et de la fin de vie.
Nous regrettons le nouveau report de cette loi de liberté. Ce report pousse des malades laissés sans solution en France, à trouver à l’étranger l’apaisement de leurs souffrances ; ou bien par des moyens clandestins, parfois dangereux, il conduit des aidants dans l’illégalité avec les risques judiciaires inhérents.