Toulouse : la résurrection de la Ligue pour la vertu ?

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COMMUNIQUÉ DE LA LIBRE PENSÉE DE LA HAUTE-GARONNE

Une galerie d’art toulousaine expose de façon temporaire et itinérante une sculpture des artistes espagnols
Joan Coderch et Javier Malavia, « le Géant de sel », figurant un danseur de butô, une chorégraphie japonaise née au siècle dernier. À Toulouse, avec l’accord de la Mairie, cette sculpture a d’abord été installée, le 18 novembre, sur la place Saint-Étienne, non loin de la galerie d’art, puis déménagée près de la place Wilson, suite à une pétition de riverains qui se disaient « importunés par sa présence devant un édifice religieux », la cathédrale Saint-Étienne. Pour ces pétitionnaires, anonymes et non dénombrables, puisque personne à notre connaissance n’a vu cette pétition, leur foi, catholique en l’occurrence, est heurtée par l’aspect de l’oeuvre d’art ainsi positionnée, qui serait à leurs yeux blasphématoire.

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