Keith Porteous Wood revient sur de nombreux exemples de religieux qui ne semblent pas être soumis à la loi française pour ne pas avoir signalé des abus cléricaux présumés sur des mineurs, comme cela est exigé depuis 2000. Il affirme que des changements fondamentaux sont nécessaires pour que les victimes soient protégées
D’ex-jeunes filles placées dénoncent les violences subies, il y a plusieurs décennies, dans les foyers de la congrégation. Réunies dans une association, elles réclament réparation. L’institution, elle, s’organise pour préserver son image et limite l'accès aux dossiers.
Nous avons écrit à deux reprises, le 17 octobre 2014, puis le 12 janvier 2015 (courriers joints), à la Congrégation du Bon–Secours pour lui demander de prendre ses responsabilités dans l’affaire des morts cachées et de l’inhumation massive sans aucune autorisation d’environ 800 très jeunes enfants dans les bâtiments appartenant à la congrégation à Tuam Lire plus …
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