Apprendre, Comprendre, Agir

A PROPOS DE LA PALESTINE

Les dramatiques événements en Palestine ne doivent pas nous empêcher de réfléchir au Pourquoi et au Comment des raisons qui déclenchent ce genre d’événements.

Vous trouverez ci-joint cinq points de vue exprimés sur cette question.

La Libre Pensée dénonce fermement la campagne actuelle de terrorisme intellectuel contre tous celles et tous ceux qui marquent de l’empathie pour le peuple palestinien

Nous rappelons que nous venons de publier un ouvrage «  Judéïcité, Laïcité et Libre Pensée  » qui éclairera   utilement sur ce problème dans l’entièreté des questions posées.

Vous pouvez vous le procurer auprès de la Librairie de la Libre Pensée, au prix de 12€ (6€ de frais de port)

Comme pendant la boucherie impérialiste de 1914-1918
Faisons nôtre le Manifeste de Kienthal de 1915  :

Peuples qu’on ruine et qu’on tue, debout contre la guerre  ! Courage  ! N’oubliez pas que, malgré tout, vous êtes encore le nombre et que vous pourriez être la force. Que dans tous les pays, les gouvernements sentent grandir en vous la haine de la guerre et la volonté de revanches sociales, et l’heure de la paix sera avancée.

A bas la guerre  !
Vive la paix  !
la paix immédiate et sans annexions



Un point de vue palestinien

Offensive du Hamas contre Israël. Entretien avec Hassan Albalawi, 1er conseiller à l’Ambassade de Palestine (Belgique)

07/10/2023 

 

Malika Madi

Neuf personnes au moins ont été tuées à Gaza ce samedi dans la flambée de violence provoquée par une offensive du Hamas contre Israël suivie par des frappes aériennes israéliennes sur ce petit bout de territoire contrôlé par ce mouvement palestinien. Pour nous éclairer sur la situation, DiverCite.be a rencontré Hassan Albalawi, Premier Conseiller à l’Ambassade de Palestine en Belgique.

Entretien

DiverCite.be :  quelle est votre réaction face à cette flambée de violence entre le Hamas et Israël ?

Hassan Albalawi : Bien entendu, je m’inquiète de la grave situation et de l’escalade sur le terrain. Je ne suis pas pour la violence, à commencer par celle que provoque l’occupation israélienne de la Palestine depuis 75 ans et qui est l’origine de toutes les violences dans la région. Mais, il faut le reconnaitre, la puissance d’occupation israélienne profite chaque jour un peu plus de l’indifférence de la communauté internationale vis-à-vis la question palestinienne. Ses relations avec un certains nombres d’États dans le monde, y compris arabes, asseoit plus encore sa toute-puissance sur les Palestiniens.

Ce que nous démontre l’actualité récente dans les territoires palestiniens, c’est qu’Israël peut conclure autant d’accords qu’il veut, mais s’il ne fait pas la paix avec les Palestiniens, dans le cadre du droit international, il ne sera jamais en sécurité. Quand Netanyahou exhibe une carte devant les Nations Unies et dit qu’il n’y a pas d’État palestinien et que tout appartient à Israël, c’est une vraie provocation et un appel direct à l’affrontement.

DiverCite.be :  Ne craignez-vous pas les conséquences d’une contre-offensive pour les Palestiniens ?

Hassan Albalawi : Nous sommes habitués aux conséquences et aux ripostes israéliennes, lourdes humainement et matériellement. Les différentes chancelleries internationales qui s’expriment avec Israël, ne font pas grande chose sur le terrain, à part des communiqués, pour mettre fin à l’occupation israélienne et à son lot de violences qui se déploie tous les jours dans l’ensemble du territoire palestinien occupé en ce compris à Jérusalem-Est. Aujourd’hui, je pense qu’une forte majorité des Palestiniens dans le monde vit un sentiment de fierté. Passer la frontière, capturer des chars avec des soldats israéliens, c’est énorme ce qui se passe. C’est un tournant dans notre histoire.

 DiverCite.be :  Ce qui se passe à partir de Gaza est une vraie surprise aussi pour beaucoup de Palestiniens ?

Hassan Albalawi : À chaque fois qu’il y a une répression et/ou une attaque israéliennes, je pense à la mosquée Al Aqsa. A chaque fois qu’Israël applique sa politique violente l’égard du peuple palestinien en Cisjordanie, il y a toujours des réactions et des tirs de roquettes depuis la bande de Gaza contre des localités israéliennes. C’est donc une scène à laquelle les Palestiniens sont habitués.

Ce qui est nouveau, c’est que des unités de la résistance palestinienne ont pu franchir la frontière qui encerclait la bande de Gaza depuis 17 ans. Il y a un blocus total pour plus de 2 millions de personnes sur une surface de 365 km2 qui ne permet pas de communication avec la Cisjordanie.

Aujourd’hui, le fait que des centaines de militaires palestiniens aient franchi les frontières en capturant des chars et des soldats en diffusant ces images au monde entier est historique. Ce sont des actes héroïques. Cela nous rappelle les faits qui se sont déroulés en 1987, avec l’affaire de la Nuit des Planeurs[1]. Les Palestiniens ont besoin d’une telle opération pour en finir avec le sentiment perpétuel de domination.

 DiverCite.be :  Pourquoi aujourd’hui ? Y a-t-il une symbolique particulière de ce mois d’octobre 2023 ?

Hassan Albalawi : Ces derniers jours on commémore 50 ans de la guerre du Kippour ou guerre du Ramadan ou encore guerre d’Octobre 1973. Le conflit avait opposé les deux camps du 6 au 24 octobre 1973, lorsqu’une coalition militaire arabe menée par l’Égypte et la Syrie avec la participation de la résistance palestinienne avait attaqué Israël et fait une victoire militaire arabe.

Octobre 2023 est un tournant dans l’histoire des territoires occupés parce que nous vivons une sorte de retour de situation qui redonne de l’espoir aux Palestiniens alors qu’ils vivent des attaques quotidiennes dans la plus grande indifférence internationale sous l’impulsion du ministre de la Sécurité nationale Itamar Ben-Gvir. Lorsqu’un ministre israélien vous dit que le village de Hawara à Naplouse est Israélien, c’est une provocation et ça nourrit le ressentiment. Il faut savoir aussi qu’il ne se passe pas un jour sans qu’il y ait des propos ou des actes de violence à l’égard des Palestiniens. Chaque jour il y a un ou deux morts par le fait des colons ou de Tsahal ou des deux ensembles. Lorsque Netanyahou refuse l’idée d’un État palestinien à l’ONU, il divulgue le cap de sa politique devant le monde entier. Nous sommes faces à un échec diplomatique international après toutes les tentatives que nous avons connues depuis des décennies. Les Palestiniens n’ont pas le choix, ce qui s’est passé ce matin est une réponse naturelle.

DiverCite.be :  Tout le peuple palestinien est aujourd’hui derrière les actes du Hamas ?

Hassan Albalawi : Absolument. La majorité écrasante approuve. Un  sentiment de fierté est né chez tous les Palestiniens. Un sentiment de dignité qui se traduit par « Nous aussi nous pouvons faire des choses et imposer des dégâts importants à l’armée israélienne qui est la plus puissante dans la région,  prendre en otages des Israéliens»

 DiverCite.be :  On ne peut pas ignorer que les conséquences seront dévastatrices pour les Palestiniens ?

Hassan Albalawi : Depuis 2009, Gaza a connu cinq guerres consécutives menées par l’armée d’occupation, avec comme conséquence des milliers de morts, de blessés et des destructions. Les Palestiniens sont toujours sous blocus total à Gaza. On s’attend à des représailles effectivement. D’ailleurs elles ont déjà commencé par des bombardements ce matin.

DiverCite.be : les Nations Unies et la communauté internationale qui jouent un rôle essentiel dans la gestion de la question palestinienne condamnent ces attaques. Quelle réaction cela vous inspire-t-il ? 

Hassan Albalawi : Et cette Communauté internationale que fait-elle tous les jours pour les Palestiniens ? Ce qui se passe aujourd’hui montre justement qu’elle ne fait rien depuis des années. C’est une manière de lui dire qu’il est temps qu’elle fasse le nécessaire pour arrêter l’occupation israélienne et d’appliquer des sanctions comme cela se passe pour le moment en Ukraine. Lorsque Poutine est entré en Ukraine, les sanctions internationales sont tombées tout de suite. Tout cela montre une de fois de plus que la Communauté internationale applique une politique de deux poids, deux mesures.

[1] La nuit des planeurs est une attaque menée le 25 novembre 1987 par un commando palestinien composé de 4 combattants, dont un Tunisien et un Syrien. Ils  utilisent leurs planeurs contre le camp de Ghibur près de la région de Beit Hilal. Cette attaque a entraîné la mort de 6 soldats israéliens et infligé des blessures à 8 autres. Cela a également abouti à l’arrestation d’un des auteurs. Les quatre ont ensuite été exécutés.

Hassan ALBALAWI

Premier-conseiller
Responsable des relations bilatérales avec la Belgique et le Luxembourg  



Une analyse lucide

LA TRIBUNE

LA BANDE DE GAZA EST UNE COCOTTE-MINUTE

tribune eco

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POLITIS

Comment Israël a joué les apprentis sorciers avec le Hamas

Les attaques du Hamas contre Israël appellent une condamnation sans ambiguïté qui n’empêche pas de se poser sur une question cruciale : pourquoi et comment ce mouvement islamiste nationaliste en est-il venu à dominer le paysage politique palestinien ?

Denis Sieffert  • 9 octobre 2023

Quiconque a vu les images en provenance du sud d’Israël ne peut hésiter. Le massacre de jeunes gens dont les corps jonchent le sol dans des villages situés à quelques encablures de Gaza, ces otages violentés, traînés par des terroristes qui les arrachent à leurs familles, tout cela révulse la conscience et appelle une condamnation sans ambiguïté de l’attaque menée par le Hamas ce funeste samedi 7 octobre. Notre statut d’Occidentaux, ennemis de la violence, loin de ces lieux palestiniens de souffrance, nous invite naturellement à ne pas marchander notre condamnation. Celle-ci est plus difficile assurément pour les Palestiniens eux-mêmes qui subissent l’occupation et l’oppression depuis tant d’années sans que leur sort suscite une grande émotion dans nos capitales.

Cela, les procureurs médiatiques qui pratiquent depuis le 7 octobre la sommation à condamner avant d’avoir le moindre droit à la parole devraient essayer de le comprendre. Est-ce trop demander à des journalistes et des politiques englués dans une lecture unilatérale de ce conflit depuis tant d’années ? Usons donc ici de notre droit, et même de notre devoir de justice, une fois réitérée la condamnation claire du raid lancé par le Hamas. Car d’autres images nous proviennent déjà de Gaza, de familles entières décimées par les bombes israéliennes, et de petits corps d’enfants recouverts de linceuls. De quel crime ceux-là sont-ils coupables ? On dira qu’ils sont des victimes indirectes du Hamas. C’est vite dit.

Et il faudrait s’interroger plus en profondeur sur ce Hamas, cible à juste titre de toutes les détestations. D’où vient-il ? Pourquoi et comment cette « filiale » des Frères musulmans jordaniens et égyptiens en est-elle venue à dominer le paysage politique palestinien ? Un souvenir m’est revenu d’un reportage. Ce devait être à Ramallah en 1989, à la Muqata, devenu ensuite le siège de l’Autorité palestinienne, mais qui était alors celui de l’administration civile israélienne des territoires. Un haut responsable israélien s’était vanté de favoriser la montée en puissance du Hamas, alors groupusculaire, pour casser les reins du Fatah de Yasser Arafat. Un an plus tard, je retrouvais sous la signature du spécialiste des questions militaires du quotidien israélien Haaretz, Zeev Schiff, un témoignage similaire.

« De nombreux dirigeants israéliens
ont joué ce jeu terrible
pour discréditer le Fatah de Yasser Arafat. »

On ne peut s’empêcher de rapprocher ces lointains souvenirs du propos beaucoup plus récent de Bezalel Smotrich, actuel ministre des Finances du gouvernement Netanyahou, que « le Hamas est notre chance ». La « chance » d’Israël ou celle des colons, dont il est un leader ? On ne sait. Ce raisonnement cynique ne date pas d’hier. C’est peu dire qu’Israël a joué les apprentis sorciers. Comme l’a fait Bachar Al-Assad en Syrie en instrumentalisant les groupes jihadistes pour discréditer la révolution. Comme l’a fait Vladimir Poutine en Tchétchénie. De nombreux dirigeants israéliens ont joué ce jeu terrible pour discréditer le Fatah de Yasser Arafat au moment où celui-ci avait fait le pari de la paix. Il faut s’interroger, alors que Benyamin Netanyahou promet à son opinion publique d’éradiquer le Hamas. Pour l’heure, c’est le Fatah, partisan des accords d’Oslo et du partage de la grande Palestine mandataire, qui a été « éradiqué », ou réduit à l’état de dépendance sécuritaire, avec son chef, Mahmoud Abbas.

Pour « éradiquer » le Hamas, il n’y a qu’une solution : ouvrir une perspective de paix conduisant rapidement à un État palestinien. Nous en sommes évidemment très loin. Aucune solution militaire n’y parviendra car le Hamas ne vient pas de nulle part. Il vient du désespoir. La condamnation des crimes de guerre commis par le Hamas aurait plus de force s’il existait une perspective politique à la violence. Il n’en existe plus aucune depuis l’échec de Camp David, en juillet 2000. La promotion du Hamas depuis trois décennies nous dit beaucoup de la sincérité des dirigeants israéliens de cette période. Elle résulte de manigances vaguement complotistes et, plus encore, du sabotage des accords d’Oslo de 1993. Des accords qui souffraient déjà d’un péché originel puisque aucune perspective d’État palestinien n’y figurait. Le Hamas a prospéré à mesure que la population palestinienne constatait que la colonisation continuait de galoper en Cisjordanie.

« Pour « éradiquer » le Hamas,
il n’y a qu’une solution :
ouvrir une perspective de paix
conduisant rapidement à un État palestinien. »

La montée en puissance du Hamas a eu un autre effet. Il a servi, dans le discours officiel israélien, et plus généralement occidental, à transformer un conflit colonial en guerre de religions. Or une guerre de religion n’a pas d’issue, alors que la décolonisation est la solution au conflit colonial. Il faut redire ici que le Hamas, aussi islamiste soit-il, n’est pas Daech ou Al-Qaida, mais un mouvement nationaliste palestinien. Avec lui, le conflit reste un conflit territorial dont l’enjeu n’est pas Gaza, qui vit l’enfer d’un blocus inhumain depuis 2007, mais la Cisjordanie et Jérusalem-Est.

C’est plus que jamais vrai alors que le gouvernement d’extrême droite projette d’annexer purement et simplement la Cisjordanie où vivent déjà 700 000 colons (il y en avait 115 000 au moment des accords d’Oslo !). Voilà bien pourquoi Netanyahou et ses amis Ben-Gvir et Smotrich veulent réduire les pouvoirs de la Cour suprême, laquelle risque de se mettre en travers de leur appétit annexionniste. On parle de la faillite du renseignement israélien, mais c’est la faillite politique d’un gouvernement qui est entièrement investi en Cisjordanie pour mener à bien son projet colonial, et qui considérait désormais Gaza comme quantité négligeable.

Les conséquences des événements tragiques du 7 octobre sont aujourd’hui difficiles à mesurer. Le gouvernement israélien est fragilisé. Sur un plan militaire, la question, inédite dans une telle ampleur, des otages place Netanyahou devant un dilemme. Bombarder aveuglément Gaza, ce serait sacrifier les otages. Mener une offensive terrestre serait très hasardeux. Gageons que ce sera tout de même le choix de ce gouvernement, avec le bain de sang qui s’ensuivra. Mais comment la société israélienne vivra-t-elle cet épisode quand elle sortira de la sidération des premiers jours ? Comment vont réagir les colons extrémistes, ceux qui se livrent à des pogroms en Cisjordanie ou à Jérusalem dans l’indifférence internationale ? Comment vont réagir les Palestiniens de Cisjordanie, et ceux qui représentent quelque 20 % de la population israélienne ?

Ce qui est sûr, et qui constitue la victoire politique du Hamas, c’est que ce conflit que tout le monde voulait oublier, et que l’Arabie saoudite s’apprêtait à sacrifier définitivement pour normaliser ses relations avec l’État hébreu, s’impose de nouveau à tous. Il s’impose certes dans sa dimension géopolitique, puisqu’il est assez évident que l’Iran a été à la manœuvre. Mais il faut espérer que cette lecture « planétaire » dont beaucoup de médias se repaissent ne fera pas une nouvelle fois oublier la question palestinienne dans sa dimension territoriale, culturelle et humaine. L’horreur du 7 octobre nous dit qu’il n’y aura pas d’extinction de ce conflit sans une solution respectueuse des droits de Palestiniens.


Judéïcité, laïcité et Libre-Pensée (Collectif Ed Théolib Résistances)

 

Sommaire

« Judéïcité, Laïcité et Libre Pensée »

Préface de Carole Halbutier

  • Analyse de l’action antireligieuse et anticléricale dans la judéïcité par Christian Eyschen

Histoire et Histoires :

  • Quelques repères chronologiques entre mythes, légendes et réalités
  • La Bible dévoilée par Israël Finkelstein et Nil Asher Silberman
  • Comment le peuple Juif fut inventé par Shlomo Sand
  • Comment la Terre d’Israël fut inventée par Shlomo Sand
  • Comment j’ai cessé d’être Juif par Shlomo Sand

 

  • Le combat laïque et anticlérical :
  • L’antisémitisme politique en Angleterre (1905-1933) par Jean-Louis Alessandri
  • Les Rothschild
  • Les « Bessarabian Fighters », Un gang criminel Juif dans l’East-End de Londres par Jean-Louis Alessandri
  • Les libertaires du Yiddisland par Jean-Marc Izrine
  • Non, nous ne sommes pas un peuple élu (Sionisme et antisémitisme dans les années trente, La doctrine du Bund polonais dans les textes
  • Qui était Vladimir Jabotinsky, celui qu’Enrryk Erlich appelait « Le Duce juif »

Aspects religieux :

  • Les religieux juifs et le sionisme
  • Judaïsme contre sionisme par Emmanuel Lévyne
  • Le Vatican, les Juifs et l’Etat d’Israël

Marxisme et Judaïsme :

  • Léo Jogiches, Rosa Luxemburg et la SDKPIL par Anne Vanesse
  • André Warski
  • Jonathan Louli. Karl Marx, A propos de « La Question Juive », 1982 [1844]
  • La Conception matérialiste de la Question Juive par Abraham Léon
  • Léon Trotsky et la Question juive
  • Les Marxistes et la Question juive par Enzo Traverso

Tsahal, l’Etat d’Israël : la guerre en permanence :

  • Tsahal, nouvelle histoire de l’armée israélienne par Pierre Razoux
  • Israël contre le Hezbollah par Michel Goya et Marc Antoine Brillant
  • Refuzniks israéliens, ces soldats qui refusent de combattre en territoires occupés par Fabienne Messica et Tamir Sorek
  • Israël : comment le sionisme a produit l’Extrême-Droite par le Cercle Léon Trotsky – Lutte Ouvrière

Falsifications :

  • Négationnisme et Vérité historique

Glossaire pour comprendre et apprendre

Histoire générale du Bund par Christian Eyschen

Les Oubliés du Shtetl par Alain Chicouard

Babi Yar, Un enjeu mémoriel par Alain Chicouard

Anarchistes juifs ou juifs anarchistes ? par Pierre Sommermeyer

Marc Bloch et le Judaïsme dans l’Etrange défaite par Christian Eyschen

Maurice Rajsfus, une conscience libre dans le siècle par Dominique Goussot

Les sources de la création de l’Etat d’Israël par Dominique Goussot

Un Etat sans constitution, mais pas sans religion par Dominique Goussot

A propos du Procès d’Adolf Eichmann par Christian Eyschen